Par ordonnance définitive du 27 juillet 2016, la Chambre du Conseil de Bruxelles confirme ce qui aurait pourtant dû relever d’une évidence : la détention en centre fermé d’une femme qui vient de faire une fausse couche constitue un traitement inhumain et dégradant, de sorte que celle-ci doit être immédiatement remise en liberté.